Les raisons de l’origine du bruit sont aussi nombreuses que variées. Il y a par exemple les voix, les meubles, le bruit des électroménagers, les bruits aériens.
Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé ne serait pas purement fortuite.
Il est 11h30 et les enfants ont faim. Ce midi c’est steak haché frites. On ressent l’impatience des enfants sur ce qu’incarne ce plat fétiche rien qu’à leur arrivée à la porte de la cantine.
Les cantinières ajustent une dernière fois leurs tabliers, le chef vérifie que les plats sont prêts à être servi, les derniers ajustements de la préparation commencée tôt ce matin sont finis.
C’est parti pour le service !
Les enfants sont assez grands pour choisir où ils s’asseyent, ce qui ne facilitent pas le travail du personnel encadrant qui doit composer avec les amitiés de chacun. Le petit Léon ruse d’ingéniosité pendant plusieurs minutes auprès de Léa pour être à côté de son copain Paul. Un prêt de trottinette cet après midi et le tour est joué. L’art de la négociation n’a pas d’âge.
Un peu plus loin, Selene et Neyssa comparent leurs âges dans le fond de leurs verres en les faisant taper dans contre les assiettes en céramique blanc. Leurs mouvements mal assurés vaut la chute des fourchettes sur le carrelage encore étincelant de propreté. Vite ramassées et changées par Camille l’animatrice soucieuse de la tenue du service et des enfants à leur place.
L’entrée princière du plat de frites sur leur carrosse fait d’inox suscite un engouement comparable à la plus bruyante ambiance de stade. Le service se passe et déjà les appétits guidés par leur gourmandise des premiers servis réclament un rab’ au nez et à la barbe des derniers servis tout aussi impatients.
12h15, le temps passe et les oreilles de nos cantinières commencent à sérieusement siffler le bruit d’un acouphène bon pour rester jusqu’au couché comme un vestige de la cacophonie du service du midi. Du côté des enfants, les récentes émissions de concours de cuisine alimentent leurs argumentaires sur leurs préférences culinaires et le dégout de certains mets.
Pour une fois les assiettes sont vides constatent le chef de cuisine. Ce n’est pas toujours le cas malgré toute la bonne volonté de concocter des recettes à base de produits frais. « La faute au bruit et à nos papilles gustatives qui font pas bon ménage selon certaines études » commente-il.
Vient l’heure de débarrasser. Bouchez vous les oreilles, le tintement aiguë de l’inox a sonné.
Le ronron sourd de la plonge automatique et ses 80db sous le capot, donne un rythme aux mains des équipes chargé de rendre brillant comme un sou neuf l’ensemble des ustensiles pour le lendemain. Gare à celui qui fera basculer les couverts un peu trop vite dans les plats inox !
Les chambres froides répondent à tue-tête avec leurs caractéristiques bruits grave de frigo et le jet d’eau mal accompagner pour nettoyer le sol frisent le bout des chaussures.
Il est 15h, tout est propre. Mission accomplie mais pas sans fatigue auditive.
Dans cette histoire les origines et l’intensité des bruits sont variées, il existe des solutions pour en limiter les gènes comme des chaises hautes ou de la pédagogie pour calmer au mieux les enfants.
Mais cela ne suffit pas, le traitement acoustique ABBAson® intervient comme un soutien à toutes les actions entreprises.